Nouveau Sharan : présentation internationale
Communiqué de presse :
Le nouveau Sharan
Introduction
En bref
Carrosserie
Habitacle
Motorisations – transmission
Châssis
Equipements optionnels
Introduction
– Volkswagen a conçu un tout nouveau monospace. Un monospace qui s’est allongé de 22 cm par rapport à son prédécesseur pour atteindre les 4,85 m. Un monospace à bord duquel 7 personnes peuvent prendre place ou qui peut embarquer jusqu’à 2.430 l de bagages en plus de deux occupants. Avec jusqu’à 9 airbags et 33 espaces de rangement.
– Ses quatre moteurs suralimentés à injection directe – à essence (TSI) et turbodiesels (TDI) – ont vu leur consommation réduite de 21% par rapport à celle des moteurs équivalents de la version précédente.
– Le Sharan de la dernière génération est l’un des monospaces les plus aérodynamiques avec un Cx de 0,299, ce qui correspond à une amélioration de 5% par rapport à son prédécesseur, déjà excellent.
– Grâce au nouveau concept EasyFold, les sièges de la deuxième rangée n’ont plus à être enlevés pour pouvoir utiliser tout l’espace intérieur, il suffit de les rabattre complètement à l’aide d’un mécanisme facile à utiliser.
– Quel que soit le niveau de finition choisi, les modèles à 6 et 7 sièges sont livrés de série avec une climatisation automatique 3 zones (Climatronic), le système EasyEntry facilitant l’accès à la troisième rangée de sièges, ainsi qu’un dispositif d’avertissement acoustique et visuel en cas de non-bouclage des ceintures de sécurité à l’arrière.
– Le frein à main électromécanique et le nouveau système Park Assist d’aide au braquage lors des manœuvres de stationnement sont une source de confort supplémentaire
– Le Sharan de la troisième génération sera le seul monospace de sa catégorie à être proposé, cette fois encore, dans une version à quatre roues motrices.
En bref
• Première génération : 1995
• Deuxième génération : 2000
• Deuxième génération restylée : 2003
• Troisième génération : 2010
• Nombre de Sharan produits à ce jour : 607.700
• Site de production : Palmela, Portugal
• Dimensions : longueur 4,85 m, largeur 1,90 m, hauteur 1,72 m, empattement 2,92 m
• Capacité de chargement de la version à 5 places : de 885 l à 2 430 l. Longueur jusqu’aux sièges avant : 2,1 m
• Moteurs diesels : 140 CV/103 kW (TDI) et 170 CV /125 kW (TDI) à la date de lancement
• Moteurs à essence : 150 CV /110 kW (TSI) et 200 CV /147 kW (TSI) à la date de lancement
• Consommation moyenne: de 5,5 l/100 km à 8,6 l/100 km
• Spécifications des moteurs : injection directe et suralimentation généralisées, TDI à rampe commune ; respect de la norme Euro 5 ; système Stop-Start et récupération d’énergie jusqu’à 170 CV (125 kW) ; version de 200 CV avec boîte DSG à 6 rapports
• Châssis : train avant McPherson, train arrière à quatre bras par roue, ESP de série, régulation adaptative du châssis DCC en option
• Équipements de série : ESP, 7 airbags (y compris airbag protège genou pour le conducteur), portes coulissantes, climatisation, direction assistée électromécanique
• Assistants: Park Assist, caméra de recul Rear Assist, Park Pilot avec représentation graphique
Carrosserie
Une carrosserie inégalée en termes de qualité et de sécurité
22 cm plus long, 30 kg plus léger
L’aérodynamisme au service de l’efficacité énergétique grâce à un Cx de 0,299
Le Sharan édition 2010 est de conception entièrement nouvelle. À commencer par la carrosserie, dont les proportions ont évolué. En effet, le nouveau Sharan s’est allongé de 22 cm pour atteindre 4,85 m (empattement de 2,92 m) et a gagné 9,2 cm en largeur (1,90 m, mesuré entre les poignées de porte avant). Le tout s’accompagne d’un abaissement du pavillon de 1,2 cm pour une hauteur de 1,72 m. Résultat : une distribution plus dynamique des volumes et une impression générale de puissance. Pour la première fois, le grand monospace de Volkswagen est doté de portes coulissantes. Disponible en option, l’ouverture/fermeture électrique des portières intègre un dispositif de protection anti-pincement. L’innovation se retrouve à tous les niveaux de la carrosserie. La rigidité torsionnelle statique et dynamique, par exemple, a été portée à un niveau inédit dans ce segment. Dans le même temps, Volkswagen a réussi à briser la spirale du poids, à l’exemple du Sharan 1.4 TSI BlueMotion Technology de 150 CV, plus léger de 30 kg par rapport à son prédécesseur mû par un 2 l de 115 CV.
Le Sharan doit son apparence à Walter de Silva (chef du département Design du Groupe) et à Klaus Bischoff (chef du département Design de la marque), qui ont dessiné le monospace en reprenant les principes du nouvel ADN de Volkswagen. À la fois sympathique et fonctionnel, le design de la carrosserie marqué par des lignes horizontales claires réinterprète l’aspect du monospace avec bonheur et fraîcheur, sans pour autant céder aux sirènes de la mode. L’objectif déclaré était plutôt de rechercher des proportions équilibrées pour donner à la carrosserie un maximum de tension en un minimum de lignes.
La partie avant
Les feux de croisement font appel à de nouvelles ampoules halogènes H7 longue durée. Les deux de position et les feux de jour recourent aussi à la technologie Long Life ou Super Long Life.
Phares Bi-Xenon : la version avec les phares Bi-Xenon inclut également un éclairage diurne et des feux de position de conception nouvelle à base de DEL, intégrés au bloc optique. Cet ensemble est formé de 15 DEL disposées au sein du module de manière à composer une signature lumineuse marquante. Les phares Bi-Xenon sont dotés d’un éclairage dynamique des virages (« Advanced Frontlighting System », AFS) et de la fonction d’éclairage autoroutier à déclenchement automatique à 120 km/h. Les lampes au xénon utilisées sont des lampes sans mercure de type D3S, adoptées par Volkswagen pour tous ses nouveaux modèles à phares xénon avant même qu’elles ne deviennent obligatoires en 2012.
« Light Assist » : la fonction d’éclairage « Light Assist » a été repensée. Grâce à une caméra, cet assistant de commande des feux de route (en option) analyse les configurations de circulation les plus diverses sur la base des sources d’éclairage et gère la commutation entre les feux de croisement et les longue-portée. Ce système est disponible pour les phares H7 et Bi-Xenon. Conçu spécialement pour les phares Bi-Xenon, le « Dynamic Light Assist » permet d’améliorer encore l’éclairage de la chaussée et du bord de route (disponible en option à partir du printemps 2011). Dans le cas de ce dispositif, les feux de route restent activés en permanence mais leur faisceau est adapté (voir chapitre « Équipements optionnels » pour plus de détails).
La partie arrière
L’ensemble est dominé par le hayon, très étiré vers le bas et caractérisé par un seuil de chargement à 0,67 m.
Hayon électrique : le hayon est disponible avec ouverture/fermeture électrique en option. L’ouverture/fermeture peut être commandée depuis la touche logée dans la poignée du hayon, depuis la console centrale ou par la télécommande. Le hayon électrique est pourvu d’un dispositif anti-pincement.
Silhouette
Portes coulissantes : contrairement à son devancier, le nouveau Sharan est doté de deux portes coulissantes. Grâce à une cinématique intelligente, elles s’ouvrent et se ferment très facilement. Une commande électrique est proposée en option. Dans ce cas, il suffit d’appuyer sur l’un des deux boutons (l’un pour la porte gauche, l’autre pour la droite) de la console centrale, juste devant le pommeau du levier de changement de vitesse, de presser la touche placée sur le montant central respectif ou d’actionner la poignée disposée sur la portière. Enfin, les portes coulissantes électriques peuvent également s’ouvrir ou se fermer grâce à la télécommande. Détail qui a son importance : si la trappe du réservoir d’essence est ouverte (à l’arrière droit du véhicule), la porte coulissante droite ne pourra pas être ouverte de l’intérieur, ni en mode manuel, ni en mode électrique, afin d’éviter tout dommage. Les deux versions de porte sont pourvues en série de lève-glaces électriques et de vitres qui descendent entièrement.
Le flanc du véhicule révèle l’emplacement « côte à côte » des poignées, de part et d’autre du montant B. Cet agencement s’avère extrêmement pratique, surtout si l’on est accompagné de petits enfants, vu qu’il sera possible d’ouvrir les deux portières sans avoir à se déplacer. Sans compter le fait que les portes qui coulissent vers l’arrière dégagent une large ouverture, facilitant ainsi l’accès aux places arrière.
Les portes coulissent chacune sur trois rails, l’un situé au niveau du marchepied, l’autre, sur le panneau latéral au-dessus du passage de roue arrière, et le troisième, dans le cadre de toit. Ce dernier est abrité dans un caisson spécial de manière à être protégé des agressions météorologiques. Entièrement visibles lorsque la porte du conducteur/passager avant et la porte coulissante sont ouvertes, les montants médians soulignent la qualité de construction exceptionnelle.
Il est important de savoir que l’ouverture/fermeture des portes coulissantes à commande électrique peut être interrompue et/ou la largeur d’ouverture, modifiée à tout instant. Un système autobloquant empêche les portes de coulisser non intentionnellement, y compris dans une pente. De plus, les portes coulissantes électriques disposent non seulement d’une motorisation puissante, mais aussi d’une aide à la fermeture intégrée à la serrure qui permet de les fermer même lorsque les joints sont gelées. Il s’agit toutefois d’assurer la sécurité des utilisateurs face à cette « force », raison pour laquelle les portes sont dotées d’un système anti-pincement efficace.
Le monospace de Volkswagen est l’un des rares véhicules de ce type sur le marché à être équipés de deux systèmes de protection parallèles. Le premier se trouve sur le bord antérieur des portes coulissantes, sous la forme d’une baguette de protection anti-pincement intégrée au joint et réagissant au contact grâce à ses capteurs. Le deuxième consiste en un algorithme qui est implémenté dans le boîtier de gestion et qui compare en permanence le courant d’entraînement des portes et leur vitesse de déplacement afin de détecter un éventuel obstacle. Si l’une des portes rencontre un objet en cours de fermeture, elle s’arrête automatiquement et se rouvre. Si l’obstacle est rencontré en cours d’ouverture, la porte s’immobilise. La fermeture des portes s’accompagne toujours d’un signal sonore.
Aérodynamisme
Le Sharan de la dernière génération est l’un des monospaces les plus aérodynamiques qui soient avec un coefficient de pénétration dans l’air (Cx) de 0,299, ce qui correspond à une amélioration de 5% par rapport à celui de son prédécesseur ! A titre de comparaison, le Sharan de la première génération affichait un Cx de 0,34.
Dotés d’une rainure d’évacuation de l’eau optimisée, les montants de pare-brise ont été dessinés pour dévier le flux du pare-brise vers les fenêtres latérales avec un minimum de pertes. Il en résulte trois avantages : une réduction de la résistance à l’air, une diminution des bruits dus au vent et une excellente vue sur les rétroviseurs extérieurs sous la pluie.
Parallèlement, l’aérodynamisme des rétroviseurs a été peaufiné, de même que leur fixation à la carrosserie. Résultat : ils opposent une très faible résistance à l’air, ne génèrent quasiment aucun bruit de vent et sont très peu salissants. Avantage concomitant : les déplacements d’eau vers les fenêtres latérales sont réduits en cas de pluie, ce qui a pour effet d’améliorer la visibilité et, du même coup, la sécurité.
Les critères aérodynamiques ont même influencé le design des bas de caisse, puisque ceux-ci optimisent l’ « angle d’attaque » de l’air sur les roues arrière dans le but de réduire leur résistance à l’avancement. D’autre part, les spoilers et habillages du soubassement ont été dessinés de manière à guider les flux d’air sous le Sharan avec un minimum de pertes, dans la perspective d’une réduction du coefficient de traînée et d’un refroidissement optimal du moteur et des freins. À l’arrière, le becquet de toit diminue les turbulences. Grâce à son aérodynamique intelligente, le nouveau Sharan fait beaucoup mieux que son prédécesseur en termes de bruit de vent.
Rigidité
Avec le nouveau Sharan, Volkswagen a réussi une fois de plus à briser la spirale du poids. En effet, si l’on tient compte de l’amélioration significative de la tenue aux accidents, des exigences renforcées en matière de rigidité, de l’allongement de la caisse et de l’intégration des deux portes coulissantes, la carrosserie du Sharan aurait dû voir son poids augmenter pour atteindre 438 kg. Toutefois, le recours à des matériaux et à des procédés de fabrication innovants a permis d’économiser plus de 10% sur la masse avec à la clé un poids de 389 kg.
C’est l’utilisation d’aciers formés à chaud, largement présents dans la structure du soubassement, dans les montants médians et, surtout, sur le cadre de toit qui est à l’origine de la plus grande économie de poids. À elle seule, l’intégration au cadre de toit de pièces formées à chaud, réalisées sous la forme de « tailored blanks », a permis d’économiser 1,4 kg.
Pour acquérir leurs propriétés remarquables (une rigidité extrême pour un faible poids), les pièces formées à chaud sont produites selon un procédé spécial au cours duquel la tôle d’acier portée au rouge est formée d’une seule traite et refroidie dans l’outil de formage de façon bien définie. Ces pièces sont mises en œuvre dans les zones exposées à des contraintes extrêmes en cas de collision, afin de sécuriser la zone de survie de la cellule-habitacle en cas de choc important. Ce matériau représente 13% du poids de la carrosserie nue et une économie de 26 kg. Autre facteur d’allégement, l’épaisseur des composants moins sollicités, tels que les éléments de l’enveloppe extérieure, a été réduite, sans pour autant nuire aux caractéristiques d’utilisation ou à la qualité perçue. Bénéfice : 11 kg.
Dans le même temps, le Sharan satisfait aux exigences les plus élevées en termes de comportement acoustique et vibratoire grâce à une configuration novatrice des nœuds et des points d’application des efforts. Les espaces disponibles sont utilisés au mieux par la structure de carrosserie en trois coques. L’ensemble de l’habitacle est entouré de profilés optimisés par ordinateur. Ainsi, alors même que le véhicule a vu ses dimensions augmenter et le niveau d’exigence relevé en termes de tenue aux accidents, le rapport poids/rigidité torsionnelle/taille a pu être amélioré de 40% !
Encore plus remarquable, la rigidité torsionnelle statique de 22.400 Nm/° (en progrès de 63% comparée à celle de la version précédente) est la meilleure du segment. C’est également le cas de l’excellente rigidité dynamique de la structure de la carrosserie. Ces améliorations bénéficient notamment au confort des occupants par le biais du comportement acoustique et vibratoire.
Tenue aux accidents
55% de la structure métallique du Sharan se compose de tôles à haute résistance, dont 13% reviennent aux pièces formées à chaud. Ce mélange de matériaux extrêmement stable mis en place autour de la cellule-habitacle a des effets très positifs sur la tenue aux accidents du nouveau monospace. Et ce, quelle que soit la nature du choc : frontal, latéral, arrière ou lors d’un tonneau.
Collision frontale : les structures de la zone de déformation programmée située à l’avant de la cellule-habitacle absorbent une grande partie de l’énergie d’impact. Réalisée dans un acier formé à chaud extrêmement résistant, la traverse de pare-chocs transmet aux deux longerons l’énergie d’impact qui est ainsi absorbée, et ce même en cas de choc frontal décalé. Les sections de profil des longerons ont été définies de sorte à minimiser la contrainte subie par les occupants lors du processus de décélération, et ce de concert avec les systèmes de retenue. Pour une meilleure protection des pieds et des jambes, la traverse située dans la zone des pieds est également fabriquée dans un matériau formé à chaud. La force exercée par le moteur et par la boîte de vitesses sur la traverse est répartie sur d’autres zones de la structure de carrosserie via le tunnel en matériau formé à chaud et les bas de caisse.
A l’instar du soubassement, le cadre des panneaux latéraux et le rebord supérieur de la zone tôlée des portières constituent des chemins de distribution des forces supplémentaires autour de la cellule-habitacle. Les montants de pare-brise formés à chaud mordant largement sur le cadre de toit contribuent à augmenter la stabilité de la cellule-habitacle, y compris en cas d’accident grave. Grâce à l’optimisation de la décélération combinée à la réduction des intrusions, la structure de la carrosserie est à la base de la diminution au minimum des contraintes subies par les occupants en cas de collision frontale.
Collision latérale : l’excellent mode de déformation du Sharan a permis de réduire encore les contraintes biomécaniques auxquelles sont soumis les occupants également en cas de choc latéral. Dans ce type d’accident, particulièrement dangereux, c’est le montant médian et le bas de caisse qui constituent les principaux points dits d’introduction de la force, raison pour laquelle ces éléments sont eux aussi réalisés en acier formé à chaud. Placée entre le bas de caisse et le tunnel, la traverse de siège sert également d’appui au montant médian. Sa rigidité transversale permet ainsi de transmettre l’énergie d’impact directement au tunnel central. D’autre part, les portes comprennent un renfort spécifique disposé en diagonale pour offrir la meilleure résistance possible indépendamment de la hauteur du véhicule percuteur. Ce renfort contribue également à répartir une partie de l’énergie d’impact sur la structure de carrosserie environnante.
Collision arrière : dans cette zone, la structure de la carrosserie a été conçue en intégrant les longerons, de telle manière que les passagers des deuxième et troisième rangées de sièges soient parfaitement protégés en cas de choc arrière. Dans la plupart des cas, les déformations apparaissent au niveau du coffre, et donc en dehors de la cellule de sécurité.
Protection des piétons
Dans la zone du capot avant, la tôle intérieure a été définie de manière à créer un potentiel de déformation maximum afin d’éviter tout contact avec les éléments durs du bloc-moteur. En parallèle, les ailes sont fixées via des éléments de déformation qui peuvent se donner en cas de choc. Des zones de déformation ont été intégrées même au niveau de la traverse de pare-brise. La traverse du pare-chocs avant est quant à elle dotée d’un élément de déformation qui assure un potentiel de protection élevé au niveau des jambes.
Systèmes de retenue
La sécurité passive du Sharan est complétée par des systèmes de retenue innovants qui comprennent 7 airbags (2 airbags frontaux, 2 airbags latéraux au niveau de la première rangée de sièges, 2 airbags rideaux entre les montants de pare-brise (A) et les montants de custode (D), 1 airbag protège-genoux pour le conducteur, ainsi que des points d’ancrages Isofix plus des fixations Top Tether pour des sièges enfants sur les deuxième et troisième rangées de sièges. De plus, la deuxième rangée de sièges peut être équipée en option de sièges enfants intégrés. Des ceintures automatiques à trois points d’ancrage sont prévues à toutes les places. À l’avant, les prétensionneurs de ceinture et limiteurs de tension réduisent les contraintes au niveau du thorax. Pour la première fois dans le segment du Sharan, un pack « Sécurité arrière » est proposé en option. Il se compose de prétensionneurs de ceinture et d’airbags latéraux pour la deuxième rangée de sièges (modèle 6 places). D’autre part, le système de contrôle de bouclage de ceinture SBR (« Seat-Belt Reminder ») est fourni de série aux places avant. Côté passager, le système est mis en relation avec le statut d’occupation du siège : si, à une vitesse de plus de 25 km/h, le siège passager est signalé comme étant occupé et qu’une absence de bouclage de ceinture est détectée, le système déclenche un signal sonore et lumineux. L’extension du système SBR à tous les sièges, de série sur les versions 6 et 7 places (en option en 5 places), permet au conducteur d’avoir un aperçu du statut de bouclage de toutes les ceintures sur l’écran multifonction.
En cas de collision, le système d’activation de l’airbag assure également d’autres fonctions. Il se compose de l’organe de commande de l’airbag dans la partie avant du tunnel, avec trois capteurs internes, d’un capteur frontal au niveau du support de verrou du capot et de quatre capteurs satellites pour la détection des collisions latérales. Le système ne déclenche pas seulement les airbags, il communique aussi avec d’autres organes de commande, conduisant ainsi à l’activation des feux de détresse, au déverrouillage des portières, à l’allumage de l’éclairage d’habitacle et à l’arrêt de la pompe de carburant. Un capteur frontal supplémentaire permet par ailleurs de détecter les chocs encore plus tôt de manière à déclencher les systèmes de retenue avec une efficacité accrue. Pour reconnaitre les collisions latérales, un capteur d’accélération est placé sur la zone qui relie le montant médian au bas de caisse et un autre est positionné dans la partie inférieure du montant de custode. Cette disposition permet même d’identifier les chocs portant sur la partie arrière du véhicule.
airbag genou
Habitacle
Jusqu’à 7 places, 9 airbags et 33 espaces de rangement
Le système d’assise « EasyFold » garantit un maximum de modularité et de confort
Jusqu’à 2.430 l de volume de rangement
Volkswagen a entièrement repensé l’habitacle du Sharan. Trois versions de base sont désormais disponibles avec cinq, six ou sept places. Grâce au nouveau concept « EasyFold », les sièges individuels des deuxième et troisième rangées n’ont plus à être déposés pour permettre l’exploitation de tout l’espace intérieur : il suffit de les rabattre complètement à l’aide d’un mécanisme facile à utiliser. Par ailleurs, les sièges de la deuxième rangée – dont les places extérieures peuvent être dotées de sièges enfants – n’ont plus rien à envier aux sièges avant, puisqu’ils sont réglables en approche et en inclinaison jusqu’à 20 degrés. Au-delà, on retrouve à bord du nouveau Sharan la qualité, l’ergonomie et l’intuitivité qui valent à la marque Volkswagen sa position de leader en Europe. Jusqu’à 9 airbags, 33 zones de rangement et 2.430 l de volume de rangement donnent une nouvelle dimension aux déplacements.
Poste de conduite
La planche de bord a été totalement réinterprétée par rapport au Sharan ancienne version, même si les principaux éléments de commande tels que l’interrupteur d’éclairage ou la commande de climatisation se retrouvent en position habituelle, avec toutefois un gain de visibilité et d’ergonomie notable.
Système d’assise
Première rangée de sièges (sièges conducteur et passager) : l’un des atouts majeurs des deux premières générations de Sharan a toujours été la position d’assise confortable et droite offerte au conducteur et au passager avant. Sur ce point aussi, les ingénieurs de développement ont réussi à faire encore mieux. Pour cela, ils ont donné à la position d’assise un caractère plus sportif pour une hauteur d’assise légèrement plus basse (321 mm). L’objectif était de garantir une ergonomie d’assise et de commande idéale en toutes circonstances, ajustée au positionnement de l’accoudoir central et des commandes, à l’inclinaison plus marquée du volant (28 degrés) et au poste de pilotage clairement structuré. Le Sharan sera proposé pour la première fois en option avec un siège réglable électriquement à 12 voies, avec fonction mémoire côté conducteur. En dépit d’une ligne de toit abaissée, la hauteur sous pavillon a pu être augmentée, puisque le conducteur et le passager avant disposent maintenant d’une garde au toit portée à 1.077 mm (+ 16 mm).
Deuxième rangée de sièges : l’ergonomie d’assise de la deuxième rangée a été entièrement revue. Les sièges individuels, coulissant sur 160 mm, offrent un bien meilleur support aux jambes, notamment parce que la hauteur des sièges a été rehaussée de 58 mm et portée à 373 mm. La garde au toit a gagné 14 mm pour atteindre 973 mm. Les familles apprécieront la possibilité retrouvée de commander les deux sièges extérieurs avec un siège enfant intégré, pour un maximum de confort et de sécurité à bord. Ces sièges, dont l’assise est rehaussée par rapport au niveau auquel on est normalement installé, conviennent aux enfants de trois ans et plus. Au niveau du dossier, des joues spéciales assurent un maintien idéal. Si le Sharan est commandé avec les sièges enfants, l’emplacement concerné est d’office doté d’un prétensionneur de ceinture de sécurité. Les sièges des deuxième et troisième rangées sont systématiquement munis de fixations Isofix pour recevoir d’autres sièges enfants. Et pour protéger les enfants du soleil, les portes coulissantes peuvent être commandées avec un store déroulant.
Le rabattement des sièges de la deuxième rangée dans le prolongement du plancher du coffre est un jeu d’enfant : il suffit d’actionner la poignée latérale du siège pour faire basculer le dossier sur l’assise, l’ensemble se mettant simultanément « à plat » grâce à une cinématique de basculement/abaissement. À la fois sûrs et pratiques, les nouveaux appuie-tête arrière peuvent être sortis en position extrême pour offrir une protection maximale également aux personnes de grande taille ou rester enfoncés quasiment au niveau du rebord supérieur du dossier s’ils ne sont pas utilisés. Il n’est donc pas nécessaire de les retirer pour rabattre intégralement les sièges.
Troisième rangée de sièges : l’accès à la troisième rangée de sièges a été grandement amélioré. D’abord grâce à l’ouverture très large libérée par les portes coulissantes, ensuite parce que les sièges extérieurs de la deuxième rangée peuvent coulisser vers l’avant et basculer. La cinématique « EasyFold » a été enrichie d’une fonction « EasyEntry », tout aussi intuitive, qui facilite l’accès aux deux places supplémentaires du Sharan, y compris pour des adultes. Une chose est sûre : alors que, dans la plupart des monospaces de cette catégorie, les deux sièges supplémentaires sont le plus souvent réservés aux enfants, l’empattement du Sharan, porté à 2,92 m (+ 75 mm), permet à deux adultes d’y prendre place confortablement sur un trajet de longueur moyenne. La garde au toit au fond du véhicule s’élève à 945 mm maximum.
Le coffre/la zone de chargement
Quels que soient les sièges rabattus à l’arrière, la surface de chargement disponible est toujours plane. Une fois les sièges de la troisième rangée escamotés grâce au mécanisme facile à manipuler d’une seule main, la profondeur de chargement est de 1,30 m. Celle-ci passe à 2,10 m lorsque les sièges de la deuxième rangée sont également rabattus.
Configuration | Capacité de chargement (l) | Profondeur de chargement (m) | |
jusqu’au rebord sup. des sièges | jusqu’au toit | ||
7 pl. | 300 | NC | NC |
5 pl. | 885 | 1339 | 1,30 |
7 pl. (3eme rangée rabattue) | 711 | 1167 | 1,30 |
5 pl. (2ème rangée rabattue) | NC | 2430 | 2,10 |
7 pl. (2eme et 3eme rangée rabattue) | NC | 2297 | 2,10 |
7 places, chargement derrière 3eme rangée
7 places, 3eme rangée dans le plancher
5 places, chargement derrière la 2eme rangée
5 places, chargement jusqu’au toit
Le nouveau système « Cargo management » permet de fixer les bagages en toute sécurité derrière les deuxième et troisième rangées de sièges. Il se compose de deux barres télescopiques, reliées par un filet, qui coulissent dans des rails intégrés dans les parois latérales (un en haut et en bas de chaque côté). Le (dé)verrouillage des barres se fait par simple rotation. L’équipement comporte également d’autres éléments de fixation pour accrocher, par exemple, des sacs sur les côtés.
Système de rangement
Qu’il soit destiné à une utilisation familiale ou professionnelle, le nouveau Sharan se prête à une utilisation quotidienne ne nécessitant aucun compromis. Pour preuve, les zones de rangement sont omniprésentes : dans les portières, dans la console de pavillon, sous les sièges avant, devant les sièges de la deuxième rangée et dans le coffre. Si l’on inclut le système « Cargo management », le Sharan ne dispose pas moins de 33 possibilités de rangement différentes. Caractéristique du Sharan, le grand casier de rangement aménagé dans la partie supérieure du tableau de bord a un volume de 3,2 l (et peut être verrouillé à partir du niveau de finition Comfortline). L’accoudoir central coulissant (de série) entre les sièges avant comporte également une zone de rangement. Il est possible de ranger des bouteilles de 1,5 l dans les portes avant et des bouteilles de 1 l dans les portes coulissantes. Deux porte-cannettes/gobelets à l’avant et en 2ème rangée facilitent le « service boissons » à bord.
Climatisations
« Climatic » : chaque Sharan est équipé de série d’une climatisation. Dans la version Trendline à cinq places, il s’agit d’un système à régulation manuelle de conception nouvelle, baptisée « Climatic ». Il a été amélioré à tous points de vue et a surtout gagné en puissance. La qualité de climatisation obtenue déjà rien qu’avec la « Climatic » est excellente et homogène à toutes les places.
« Climatronic » : la climatisation à 3 zones, de série sur toutes les autres versions du Sharan, offre un niveau de confort supplémentaire (chez Volkswagen, les climatisations automatiques sont traditionnellement proposées sous l’appellation « Climatronic »). Elle a été entièrement repensée pour le Sharan et permet un réglage individuel de la température et du débit d’air dans trois zones : conducteur, passager avant et arrière du véhicule. Un module de commande séparé se trouve au niveau de la deuxième rangée de sièges, à l’extrémité arrière de la console centrale. La « Climatronic » mesure également l’humidité de l’air afin de prévenir l’apparition de buée sur les vitres. Les ouïes de ventilation dans le tableau de bord et dans la zone de pavillon des deuxième et troisième rangées de sièges sont chargées de transporter l’air aux différentes places.
Réfrigération : dans le cas du système « Climatic », la climatisation de l’habitacle est assurée comme à l’accoutumée par un dispositif installé dans la partie avant du véhicule. La climatisation 3 zones, elle, fait en plus appel à une deuxième installation à l’arrière du véhicule pour climatiser cette zone. Chacune des places du Sharan équipé de la « Climatronic » bénéficie de son propre diffuseur d’air. Les évaporateurs avant et arrière de la « Climatronic » sont alimentés par un compresseur à régulation externe. En association avec un condensateur dont la puissance a été revue à la hausse, les performances générales du système ont été sensiblement améliorées par rapport à celles du modèle précédent.
La régulation du compresseur ajustée aux besoins en fonction de la puissance absorbée a en plus une influence positive sur l’efficacité du système. Grâce à l’implémentation systématique des tout derniers procédés en matière de simulation des flux d’air au fil du développement, les ingénieurs de Volkswagen ont réussi à configurer les conduites d’air et les climatiseurs de manière à réduire considérablement la puissance électrique nécessaire à leur entrainement tout en améliorant le confort à bord. Ceci a été obtenu notamment par une répartition homogène du flux d’air combinée à une vitesse de circulation plus faible. Les conduites d’air ont toutes été optimisées en termes de résistance à l’écoulement. En parallèle, les pertes énergétiques à travers les parois des gaines d’air ont été réduites au minimum. Les nouvelles climatisations du Sharan participent ainsi activement aux efforts de réduction de la consommation et des émissions.
La température, la répartition de l’air et le réglage de soufflerie sélectionnés pour toutes les zones de climatisation sont affichés sur le module de commande « Climatronic » et sur l’écran des systèmes audio et de radionavigation « RCD 510 », « RNS 315 » et « RNS 510 ». Dès que l’un des réglages est modifié manuellement, l’écran affiche automatiquement une fenêtre (pop-up) relative au nouveau statut, quel que soit le mode d’affichage en cours (audio ou navigation).
Un capteur d’humidité pour éviter les vitres embuées : outre la réfrigération de l’habitacle, l’intérêt principal d’une climatisation réside dans la déshumidification de l’air ambiant. Jusqu’à présent, il était nécessaire d’utiliser le compresseur du climatiseur en permanence si l’on voulait empêcher le dépôt de buée sur les fenêtres, y compris à basses températures extérieures. Il en va autrement dans le nouveau Sharan : dans la mesure où il est possible de repérer très tôt une formation potentielle de buée en comparant les températures respectives de l’air et des vitres, le compresseur n’est enclenché qu’en cas de nécessité au bénéfice d’une réduction de la consommation et des émissions de CO2. Intégré au pied du rétroviseur intérieur, le senseur d’humidité fait également office de détecteur de pluie et de photomètre.
Il est à noter que le nouveau Sharan peut de nouveau être commandé avec un pare-brise chauffant. C’est particulièrement utile en hiver pour débarrasser rapidement le pare-brise de la buée ou du givre.
Chauffage : les ouïes de ventilation standard disposées autour du poste de pilotage s’accompagnent de sorties d’air supplémentaires dans la zone des pieds pour alimenter chaque place assise en air chaud. Dans le cas de la « Climatronic », l’air réchauffé arrive avec encore plus de précision aux pieds des occupants de la troisième rangée de sièges via l’évaporateur arrière et le conduit de ventilation séparé. Les ouïes de ventilation y sont placées de manière à pouvoir également alimenter en chaleur la deuxième rangée. Les modèles TDI embarquent un chauffage d’appoint qui, en complément du moteur, garantit les meilleures conditions de chauffage.
Moteurs et transmission
Avec une consommation moyenne de 5,5 l/100 km, le Sharan TDI établit un record mondial dans son segment
TDI : Common Rail nouvelle génération, catalyseur SCRCatalyseur SCR
Les oxydes d’azote (NOx) participent ...
TSI : moteurs à injection directe d’essence suralimentés
Le Sharan est l’un des premiers monospaces au monde à être mû exclusivement par des moteurs à injection directe et suralimentés (TSI et TDI). Les deux TSI développent respectivement 110 kW (150 CV) et 147 kW (200 CV), les TDI 103 kW (140 CV) et 125 kW (170 CV). En matière de vivacité comme de sobriété, les moteurs TSI n’ont rien à envier aux TDI.
Les quatre moteurs ont vu leur consommation moyenne réduite de 21% par rapport à leurs pendants comparables de la version précédente. Avec une consommation moyenne de 5,5 l/100 km (145 g/km de CO2), le Sharan 2.0 TDI de 140 CV (vitesse maximale de 194 km/h) établit un nouveau record mondial dans ce segment ! Son autonomie théorique inspire elle aussi le respect, puisqu’un seul plein de 70 l permet de parcourir 1.273 km.
TDI | TSI | |||
103 kW | 125 kW | 110 kW | 147 kW | |
Cylindrée cm³ | 1968 | 1968 | 1390 | 1984 |
Nbre de cyl | 4 | 4 | 4 | 4 |
Soupapes/cyl | 4 | 4 | 4 | 4 |
Injection | directe | directe | directe | directe |
common rail | common rail | |||
Suralimentation | turbo | turbo | twincharger | turbo |
Puissance max, kW (CV) | 103 (140) | 127 (170) | 110 (150) | 147 (200) |
à tr/min | 4200 | 4200 | 5800 | 5100-6000 |
Couple max., Nm | 320 | 350 | 240 | 280 |
à tr/min | 1750 | 1750-2500 | 1750-4000 | 1750-5000 |
Taux de compression | 16,5 :1 | 16,5:1 | 10,1:1 | 9,6:1 |
B.V. | manuelle 6V | manuelle 6V | manuelle 6V | DSG 6V |
Vitesse max, km/h | 194 | 207 | 197 | 218 |
0-100 km/h, s. | 10,9 | 9,7 (1) | 10,7 | 8,3 |
Consommation, l/100km (2) | 5,5 | 5,7 (1) | 7,2 | 8,1 |
Emissions de CO2, g/km (2) | 143 | 151 (1) | 167 | ? |
Niveau de dépollution | EU5 | EU5 | EU5 | EU5 |
(1) valeur provisoire
(2) moyenne
2.0L TDI 103kW/140CV et 125kW/170CV
1.4 TSI 110kW/150CV
2.0L TSI 147kW/200CV
BlueMotion Technology
Toutes les motorisations jusqu’à 125 kW (170 CV) bénéficient d’office d’un pack BlueMotion Technology qui inclut un système « Stop-Start », la récupération d’énergie et des pneumatiques à faible résistance au roulement.
Système Stop-Start: lorsque la voiture s’arrête, que le conducteur a mis au point mort et qu’il relâche la pédale d’embrayage (avec une boîte DSG, il lui suffit d’appuyer sur la pédale de frein), l’unité de gestion du système coupe le moteur. Cela s’accompagne de l’allumage d’un témoin sur l’affichage multifonctions. Dès que le conducteur débraye (ou qu’il relâche la pédale de frein avec une boîte DSG), le moteur redémarre. Le témoin s’éteint et il suffit alors de passer la première pour repartir. En résumé, grâce au système Stop-Start, on économise jusqu’à 0,2 l/100 km en trafic urbain sans rien avoir modifier quoi que ce soit par rapport à ses habitudes.
Comparés aux véhicules sans système Stop-Start, les modèles BlueMotion Technology disposent en plus d’un module de gestion de la batterie (afin d’enregistrer l’état de charge), d’un démarreur plus puissant, d’un convertisseur DC/DC (garantissant la stabilité en tension du réseau de bord) et d’une batterie AGM (Absorbant Glass Mat) qui offre une résistance élevée aux cycles de charge-décharge.
Récupération d’énergie cinétique : un dispositif de récupération exploite l’énergie cinétique lorsque la voiture ralentit. À la retenue et au freinage, l’alternateur augmente sa tension secondaire. L’énergie cinétique peut alors être transformée en énergie électrique qui est temporairement stockée dans la batterie. Au moment où la voiture ré-accélère, c’est cette énergie qui est utilisée, ce qui permet de soulager l’alternateur, tout comme chaque fois que la batterie est à pleine charge. Il est même possible de couper totalement l’alternateur afin de délester le moteur et d’abaisser la consommation.
Affichant une charge toujours optimale, la batterie est toujours en mesure d’alimenter le réseau de bord convenablement, y compris pendant les phases d’arrêt du moteur. Le système de récupération requiert l’utilisation d’un logiciel spécial pour la gestion de l’énergie et d’une unité de gestion moteur modifiée en conséquence.
Catalyseur SCRCatalyseur SCR
Les oxydes d’azote (NOx) participent ...
Les TDI sont équipés d’un catalyseur SCRCatalyseur SCR
Les oxydes d’azote (NOx) participent ... grâce auquel, même en version turbodiesel, le Sharan figure parmi les monospaces les plus propres au monde.
La très faible teneur en oxydes d’azote des gaz d’échappement des Sharan TDI est assurée par ce catalyseur SCRCatalyseur SCR
Les oxydes d’azote (NOx) participent ... très sophistiqué, en combinaison avec l’additif AdBlueL’AdBlue est une solution aqueuse à base d’urée inject.... Le sigle SCR est l’abréviation de l’appellation internationale « Selective Catalytic Reduction ». Le terme « Selective » se rapporte au fait que ce catalyseur joue un rôle très particulier. Ce dernier consiste à éliminer de manière sélective les oxydes d’azote présents dans les gaz d’échappement en les transformant en azote et en eau. Le catalyseur SCRCatalyseur SCR
Les oxydes d’azote (NOx) participent ... a été conçu spécialement pour remplir cette tâche très spécialisée. Un catalyseur à oxydation et un filtre à particules sont toutefois également présents afin de réduire les émissions polluantes dans leur ensemble.
L’additif AdBlueL’AdBlue est une solution aqueuse à base d’urée inject..., une solution aqueuse d’urée élaborée synthétiquement, est stockée dans un réservoir supplémentaire de 17 l qui prend place au niveau du passage de roue arrière gauche. Cette substance est composée à 32,5 pour cent d’urée et est injectée en permanence en amont du catalyseur SCRCatalyseur SCR
Les oxydes d’azote (NOx) participent ... dans la ligne d’échappement. Le dosage est fonction du flux des gaz d’échappement ; la gestion du moteur, « informée » par un détecteur de NOx monté derrière le catalyseur SCRCatalyseur SCR
Les oxydes d’azote (NOx) participent ..., en assure la régulation exacte.
Réservoir d’AdBlueL’AdBlue est une solution aqueuse à base d’urée inject..., contenance 17L
Finement pulvérisée au moyen d’un treillis, l’urée se transforme en ammoniaque au contact des gaz d’échappement chauds. Dans le catalyseur SCRCatalyseur SCR
Les oxydes d’azote (NOx) participent ..., l’ammoniaque réagit avec les oxydes d’azote et, comme évoqué précédemment, les décompose en azote et en eau. L’additif aqueux AdBlueL’AdBlue est une solution aqueuse à base d’urée inject... est inoffensif, inodore et biodégradable. La consommation moyenne d’AdBlueL’AdBlue est une solution aqueuse à base d’urée inject... est d’environ 0,1 l/100 km. Sur la base de cette consommation, la taille du réservoir couvre une utilisation sur 15.000 km.
2.0L TDI 140CV
Injection Common Rail
La formation du mélange du TDI est confiée à un système Common Rail de la dernière génération. La pression d’injection qui peut atteindre 1.800 bars et les injecteurs spéciaux à huit orifices garantissent une pulvérisation extrêmement fine du carburant. L’injection recourt à l’effet piézo: une tension électrique est appliquée à un élément en céramique, ce qui modifie sa structure cristalline. Il se produit alors une légère dilatation qui, amplifiée de manière hydraulique, commande mécaniquement l’ouverture de l’injecteur en une fraction de seconde. Par rapport aux électrovannes classiques, la technologie piézo permet des processus d’injection plus flexibles avec des débits d’injection plus faibles et dosables avec une plus grande précision. Grâce à elle, il est également possible de multiplier de nombre d’injections par cycle (jusqu’à 7). Il en résulte une combustion très douce, qui profite à l’acoustique du moteur, une réponse particulièrement spontanée aux sollicitations de l’accélérateur ainsi qu’une réduction de la consommation et des émissions.
2.0L TDI 140CV
1.4 TSI 150CV avec Bluemotion Technology
Twincharger
Le TSI de 110 kW (150 CV) bénéficie d’une double suralimentation. Pour augmenter le couple de ce dernier à bas régimes, les motoristes ont choisi un compresseur à entraînement mécanique par courroie. Il s’agit d’un dispositif dont le fonctionnement est basé sur le principe Roots. L’étage interne de démultiplication qui permet une réponse vigoureuse déjà à bas régime constitue une particularité de ce compresseur.
1.4 TSI 150CV
2.0 TSI 200CV
Le compresseur et le turbocompresseur sont montés en série. Un embrayage électromagnétique intégré au module de la pompe de liquide de refroidissement prend en charge l’activation et la désactivation du compresseur qui est entraîné par une courroie supplémentaire.
Le dispositif de régulation automatique de la pression de suralimentation décide – en fonction de la force de traction requise – si le compresseur doit être enclenché en plus ou si le turbocompresseur est en mesure de fournir à lui seul la pression de suralimentation nécessaire. Cela se fait par le biais d’un volet de régulation.
En mode turbo exclusif, ce volet de régulation est ouvert. L’air emprunte alors le trajet bien connu des moteurs turbocompressés classiques, c’est-à-dire qu’il passe à travers le refroidisseur d’air de suralimentation et le papillon des gaz avant de pénétrer dans la tubulure d’admission.
Si le régime tombe dans sa plage inférieure et que de la puissance est ensuite de nouveau requise, le compresseur est réenclenché. Au-delà de 3.500 tr/min, le turbocompresseur fournit à lui seul une pression de suralimentation suffisante.
Boîte DSG à 6 rapports
Chacun de ces moteurs Euro 5 peut se voir accoler en option une boîte à double embrayage DSG à 6 rapports. Dans le cas du TSI 200 CV, la boîte DSG est même fournie de série.
Parmi les caractéristiques exceptionnelles de la DSG figurent ses deux embrayages multidisques en bain d’huile. L’embrayage n°1 commande les rapports impairs (plus la marche arrière), l’embrayage n°2, les rapports pairs. Fondamentalement, on peut donc parler de deux boîtes de vitesses en une. Cette solution sophistiquée a permis d’éliminer l’interruption du flux de force typique aux boîtes manuelles automatisées. Cela confère une dynamique incomparable au processus de changement des vitesses.
2.0 TDI, système d’échappement, réservoir et chassis
Châssis
Une tenue de route comparable à celle d’une excellente berline
Train McPherson à l’avant, quatre bras par roue à l’arrière
Un compromis parfait entre comportement dynamique et confort
Volkswagen construit des automobiles très agiles et très sures. Selon les études accidentologiques de Volkswagen, le système ESP permet d’éviter environ 1.000 accidents mortels par an rien qu’en Allemagne. Le nouveau Sharan est équipé de l’ESP de série. De plus, le monospace traction avant (bientôt décliné également en transmission intégrale) dispose d’une architecture de châssis extrêmement sûre, offrant un compromis idéal entre les deux paramètres que sont le comportement dynamique et le confort. Ce grand monospace est actuellement le seul modèle de sa catégorie à être équipé d’une direction assistée électromécanique, une source d’économie potentielle de carburant de 0,3 l/100 km. Autre source de confort et d’agilité : la régulation adaptative du châssis DCC, disponible en option en tant qu’alternative au châssis normal et au châssis sport surbaissé de 15 mm. D’autre part, Volkswagen innovera en proposant pour la première fois le correcteur d’assiette sur le train arrière du Sharan.
MacPherson à l’avant, 4 bras à l’arrière
Architecture de base
Trains avant et arrière : le nouveau Sharan possède à l’avant un train McPherson avec, par roue, un bras triangulé inférieur et une jambe de force à effet de guidage et à l’arrière, un train à quatre bras par roue. Ces composants ont été spécialement adaptés pour leur utilisation sur le Sharan. Dans l’optique d’une charge utile maximale, les ingénieurs ont par exemple renforcé le berceau arrière à paliers élastiques ainsi que les bras de suspension arrière. Par ailleurs, ce berceau a été élargi (et, par-là même, la voie) pour dégager de l’espace pour la troisième rangée de sièges et créer une surface de chargement plane et spacieuse.
A l’instar de la carrosserie, le châssis a fait l’objet de mesures de réduction du poids en vue d’abaisser la consommation et les émissions. A cet effet, les triangles de suspension, les paliers pivotants et le berceau du train avant, de même que les porte-moyeu arrière ont été réalisés en aluminium. D’autre part, les jantes en acier du Sharan Trendline sont fabriquées selon le procédé « flow-forming », leurs parois n’étant renforcées que dans les zones particulièrement sollicitées. Une source d’allégement supplémentaire.
Système de freinage
Le nouveau Sharan est équipé aux quatre roues de freins à disques ventilés de dimensions généreuses (diamètre de 314 mm à l’avant et de 282 mm à l’arrière). Les freins avant, particulièrement sollicités, sont de conception entièrement nouvelle. Le Sharan est le premier modèle Volkswagen à en bénéficier. Les avantages se traduisent par une résistance thermique bien plus élevée et par une diminution des distances de freinage. Comme la Passat et le Tiguan, le nouveau Sharan se voit doté d’un frein de stationnement électromécanique L’ESP du Sharan est de la dernière génération. Il intègre de série le stabilisateur de remorque pour optimiser la sécurité en cas de charges tractées importantes. Le stabilisateur de remorque peut sauver des vies et se révèle indispensable pour un véhicule tracteur moderne.
Pneus autocolmatants
Le Sharan est équipé de série de pneus autocolmatants Continental. Ceci illustre une fois de plus l’obsession de la perfection et du détail qui anime Volkswagen. La technologie ContiSeal mise au point par le pneumaticien allemand permet de continuer à rouler malgré la présence d’un corps étranger dans la bande de roulement. En effet, un mélange de gomme extrêmement élastique « enrobe » instantanément celui-ci assurant un colmatage du pneu. L’efficacité est assurée pour quasiment tous les clous et vis dont le diamètre n’excède pas 5 mm. Dans environ 85% des cas, on évite ainsi un dégonflage du pneu.
Combinaisons pneus/jantes
La version de base du Sharan (Trendline) est dotée de jantes en acier au format 6½ J x 16 chaussées de pneumatiques de dimensions 205/60 R 16. Le Sharan Comfortline est quant à lui livré avec des pneus 215 de 16 pouces, montés sur des jantes « Memphis » de 6½ J x 16 en alliage léger. Au sommet de la gamme des finitions, le Sharan Highline sort des usines portugaises de Palmela campé sur des jantes « Sydney » 7J x 17 en alliage léger chaussées de pneus 225/50 R 17.
Equipements optionnels
Un assistant aux manœuvres de stationnement plus intelligent que jamais
Le Light Assist gère automatiquement la portée des phares
La régulation adaptative du châssis concilie dynamique et confort
RNS315 (RNS310 + Bluetooth)
Aux trois niveaux de finition (Trendline, Comfortline et Highline) et configurations de sièges s’ajoutent de nombreuses possibilités de personnaliser le Sharan, en fonction de l’usage, des besoins et des affinités. Le catalogue des équipements optionnels est riche : nouveau système « Light Assist » (gestion automatique de la portée des phares), ouverture/fermeture électrique des portes coulissantes et du hayon, régulation adaptative du châssis DCC, correcteur d’assiette « Nivomat », châssis sport, « Park Assist » nouvelle génération, caméra de recul « Rear Assist », systèmes de radionavigation « RNS 315 » et « RNS 510 », installation audio « RCD 510 », système Dynaudio de 300 W, toit ouvrant panoramique, pack « Module Rangement » + filet à bagages et système de démarrage/verrouillage automatique « Keyless Access ». Les propriétaires de caravanes, de chevaux ou de bateaux profiteront quant à eux des avantages du système d’attelage escamotable.
Les jantes en alliage léger de 16 et 17 pouces apportent une touche d’élégance supplémentaire. Le Sharan peut recevoir les jantes de 16 pouces « Brisbane » dans les niveaux de finition Trendline et Comfortline. Les jantes de 17 pouces « Jarama » sont disponibles dans les trois niveaux de finition. Ces jantes sont proposées à un prix avantageux en combinaison avec les finitions Comfortline et Highline, dans la mesure où l’équipement de série prévoit déjà des jantes en alliage léger d’un autre type.
Volkswagen déclinera le nouveau Sharan en 9 coloris, au premier rang desquels les teintes « Gris Urano » et « Blanc Candy ». Les clients pourront également choisir entre les peintures métallisées « Brun Toffee », « Silver Leaf », « Reflet d’Argent », « Gris Panthéon », « Gris Indium » et « Night Blue ». De plus, Volkswagen propose également le somptueux « Deep Black » comme peinture à effet perlé.
Light Assist
Light Assist : il a été développé spécialement pour les phares standard (H7 et Bi-Xenon). À l’aide d’une caméra, ce système détecte les sources lumineuses. En fonction des situations ainsi reconnues, il donne à la gestion du réseau de bord des instructions de commutation entre les feux de croisement et les longue-portée (à partir de 60 km/h). Il en résulte un confort et une sécurité en net progrès.
Dynamic Light Assist : conçu en complément des phares Bi-Xenon avec éclairage dynamique des virages intégré, il garantit une illumination encore meilleure de la chaussée et des bords de celle-ci. Dans le cas de ce dispositif, les longue-portée restent allumés en permanence. Selon les véhicules détectés (venant en sens contraire ou précédant le Sharan) par la caméra logée dans le pied du rétroviseur intérieur, le faisceau des longue-portée est adapté de façon à éviter tout éblouissement du conducteur de ces véhicules. Si le « Light Assist » pourra être commandé dès le lancement du Sharan, le « Dynamic Light Assist » suivra ultérieurement.
Nouveau « Park Assist »
Volkswagen a doté le nouveau Sharan de l’un des systèmes d’aide au stationnement les plus modernes au monde. Il s’agit de la nouvelle génération du système « Park Assist ». Contrairement aux systèmes de la première génération, prenant uniquement en charge le stationnement parallèle à la chaussée, le nouveau « Park Assist » est également capable de garer le Sharan perpendiculairement à la route. Le système s’active d’une simple pression sur une touche dans la console centrale. Et le conducteur choisit de quel côté le véhicule doit être garé en actionnant le clignotant.
Une fois que « Park Assist » a trouvé une place de stationnement suffisamment grande grâce à ses 12 capteurs à ultrasons (4 à l’avant, 4 à l’arrière, 2 à droite, 2 à gauche/portée de 4,50 m), la manœuvre de stationnement automatique peut commencer : il suffit au conducteur de passer la marche arrière ou la première et d’appuyer sur la pédale de frein ou d’accélérateur. Le Sharan se charge du braquage. Pendant la manœuvre, des indications sur l’écran multifonctions et un signal sonore (dont la fréquence augmente à l’approche d’un obstacle) informent le conducteur. Il est à noter que, pour la première fois, le système peut freiner dans une certaine limite, même si le conducteur reste entièrement responsable du freinage. Pour des raisons de sécurité, la vitesse maximale autorisée par le « Park Assist » est de 10 km/h. Afin d’éviter le dépassement de celle-ci, ce qui entraînerait une désactivation du système, une intervention automatique des freins (un bref coup de frein) a lieu à environ 7 km/h pour attirer l’attention du conducteur sur la nécessité de ralentir.
L’ensemble du système a été globalement revu : « Park Assist » permet désormais de faire des manœuvres de créneau dans un emplacement particulièrement réduit (longueur du véhicule + 80 cm), mais aussi dans les virages ainsi qu’entre des arbres ou d’autres obstacles. Mieux encore : il ne faut pas plus de 50 cm de dégagement devant le véhicule au nouveau système « Park Assist » pour sortir d’une place de stationnement.
« Park Pilot », OPS et « Rear Assist »
Le nouveau Sharan est proposé avec quatre systèmes d’assistance différents pour se garer et manœuvrer. Au sommet de la hiérarchie technologique se situe le « Park Assist » cité ci-dessus.
Park Pilot : le plus simple des quatre systèmes mesure la distance de stationnement à l’avant et à l’arrière au moyen de capteurs à ultrasons et informe le conducteur par l’intermédiaire d’un signal sonore. Plus le véhicule se rapproche d’un obstacle, plus la périodicité du signal intermittent (distance élevée) s’écourte pour se transformer finalement en un signal continu (faible distance).
OPS : le système « Park Pilot » peut être complété par un affichage graphique. Ce dernier est fourni automatiquement lorsque le Sharan est commandé avec les systèmes de radionavigation « RNS 315 » ou « RNS 510 » associés au « Park Pilot ». Cet assistant permet de représenter le véhicule vu du dessus et reproduit à l’écran les obstacles détectés à l’avant et à l’arrière du véhicule.
Rear Assist : au stade suivant, le Sharan peut être équipé d’un système de caméras à l’arrière baptisé Rear Assist. Cet équipement aussi sous entend la présence de l’un des systèmes de radionavigation (RNS 315, RNS 510) ; l’image enregistrée par la caméra est alors retransmise sur l’écran tactile. Dès que la marche arrière est enclenchée, la caméra filme la zone à l’arrière du Sharan. Là encore, l’OPS peut être enclenché en supplément.
Les informations transmises par la caméra sont visualisées sous la forme d’images réelles. De plus, la trajectoire potentielle de la voiture est affichée en superposition à l’aide de lignes de repère. La caméra permet de reconnaître les obstacles à l’arrière de la voiture, si petits soient-ils. D’autre part, le système Rear Assist facilite également l’attelage des remorques. Un processeur dédié inverse l’image fournie par la caméra de manière à ce que le côté gauche apparaisse à gauche de l’écran tactile et le côté droit à droite, comme dans le rétroviseur intérieur.
DCC
La régulation adaptative du châssis DCC réagit en permanence à l’état de la chaussée et au style de conduite en modifiant les caractéristiques d’amortissement de chaque roue (jusqu’à mille fois par seconde), en fonction des informations transmises par les capteurs de mouvement de la carrosserie et de débattement de roue. Pour le conducteur, cela se traduit par une amélioration perceptible en termes de confort et de comportement routier. En cas d’accélération, de freinage ou de négociation d’un virage, la suspension est durcie en quelques fractions de seconde afin d’optimiser la dynamique de roulage tout en réduisant les mouvements de roulis et de tangage. Le dispositif analyse les signaux envoyés par la direction assistée électromécanique, le moteur, la boîte de vitesses, le système de freinage et les systèmes d’aide à la conduite et paramètre les forces d’amortissement sur base de ces données.
La régulation adaptative du châssis DCC résout le conflit d’objectifs entre comportement dynamique et confort de conduite.
Pour que le conducteur puisse régler le comportement du système selon son envie, le DCC propose, en plus du programme « Normal » aux réglages de base moyens (dans lequel toutes les fonctions de régulation sont constamment activées), les modes « Sport » et « Comfort ». Ces modes s’activent via une touche supplémentaire sur la console centrale. Le mode choisi en dernier est mémorisé pour être réactivé automatiquement au prochain démarrage du Sharan.
« Keyless Access »
La dénomination « Keyless Access » recouvre un système de (dé)verrouillage et de démarrage « clé en poche » permettant de se passer de serrure de portière et de contact. Dès qu’on touche l’une des poignées de porte avant, le système identifie l’autorisation d’accès pour autant qu’on ait l’émetteur « sur soi », puis il déverrouille le Sharan (y compris la colonne de direction, dans ce cas « callée » électriquement), neutralise le système antidémarrage ainsi que l’alarme antivol, puis autorise le démarrage du véhicule au moyen de la touche « Start/Stop » de la console centrale. Pour verrouiller le Sharan de l’extérieur, il faut toucher l’une des poignées de porte sur une zone spécifique signalée. Naturellement, il reste possible de (dé)verrouiller le monospace de l’intérieur ou grâce à la télécommande.
Fonctionnement : le fait de toucher la poignée de porte « réveille » pour ainsi dire le Sharan. Un champ inductif est émis via les antennes extérieures (une dans chaque poignée de porte avant notamment), grâce auquel le système électronique recherche un transmetteur ID (autrement dit un émetteur correspondant) dans un rayon de 1,50 m. En cas de succès, l’antenne transmet le code envoyé par l’émetteur au boîtier de commande ad hoc à bord du Sharan. Tout cela se passe en une fraction de seconde. Si le code est bon, les portes sont déverrouillées.
Trois antennes supplémentaires se trouvent à bord du véhicule. Elles vérifient si le transmetteur ID se trouve bien dans l’habitacle. Le monospace ne pourra pas être démarré si le transmetteur ID est ne serait-ce que quelques centimètres en dehors du véhicule, notamment pour des raisons de sécurité en présence d’enfants dans le véhicule. Il est par conséquent impossible de poser l’émetteur sur le toit, de monter à bord et de partir.
Toit panoramique coulissant
Après les Golf Variant, Tiguan, Touran et Touareg, le Sharan est le cinquième modèle Volkswagen à être équipé d’un toit coulissant panoramique (la Scirocco et la Passat CC sont disponibles avec un toit panoramique relevable). Le toit panoramique du Sharan possède une surface supérieure de 300% à celle d’un toit coulissant traditionnel. La partie arrière du toit va jusqu’au-delà des montants médians et peut être relevée ou totalement ouverte par commande électrique. Le verre athermique absorbe 99% des rayonnements ultraviolets. De plus, le toit est équipé d’un store motorisé.
Attelage escamotable
Avec une charge tractable maximale de 2.400 kg (versions TDI, pour une pente de 8%), le nouveau Sharan fait également merveille en tant que véhicule tracteur. Volkswagen propose un nouvel attelage escamotable pour son monospace. Le bouton placé dans l’habillage de coffre à droite permet de déverrouiller électriquement le système pivotant et de dégager le crochet de son logement. Il suffit alors de l’encliqueter en position par une légère pression, et il est prêt au service (statut identifiable au léger clic et à la DEL allumée sur le bouton).